Les santiago boys : Des ingénieurs utopistes face aux big techs et aux agences d'espionnage (Traduction conjointe Alex Taillard)

Traduit de l'ANGLAIS (ETATS-UNIS) par SAMUEL MONSALVE

À propos

Ce livre raconte l'histoire des Santiago Boys, de jeunes ingénieurs qui ont tenté de construire leur propre Internet socialiste à la demande de Salvador Allende, fraîchement élu président du Chili. Recrutant au culot un fringant homme d'affaires britannique nommé Stafford Beer, l'improbable équipe conçoit un système informatique de gestion de l'économie chilienne en temps réel, Cybersyn, alors que le Chili tente de survivre aux assauts conjoints de la CIA, du géant de la tech ITT et des partisans de la droite locale.

Dans un récit haletant, Evgeny Morozov tire les leçons de l'histoire chilienne tout en éclairant les débats actuels sur les nouvelles technologies, qu'il s'agisse de leurs tendances répressives ou de leurs possibilités utopiques.


Rayons : Sciences humaines & sociales > Sciences sociales / Société > Thèmes et questions de société > Changement social / Histoire sociale


  • Auteur(s)

    Evgeny Morozov

  • Traducteur

    SAMUEL MONSALVE

  • Éditeur

    Divergences

  • Distributeur

    Makassar

  • Date de parution

    19/04/2024

  • EAN

    9791097088699

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    250 Pages

  • Longueur

    20 cm

  • Largeur

    12 cm

  • Épaisseur

    1.9 cm

  • Poids

    248 g

  • Support principal

    Grand format

Infos supplémentaires : Broché  

Evgeny Morozov

Originaire de Biélorussie, qu'il a quittée en 2001, spécialiste des relations
internationales, Evgeny Morozov est enseignant et chercheur associé à l'université
de Georgetown. Il est aussi chercheur à la New America Foundation et contributeur
de la revue Foreign Policy pour laquelle il dirige le blog Net Effect sur les
effets d'Internet dans la politique internationale. Son premier ouvrage, The Net
Delusion, a remporté le prix du livre Goldsmith 2012 et fut cité parmi les livres
marquants de 2011 selon le New York Times.

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