Edite
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En tous les cas, même si la Géy ada, ainsi que nous l'avons vu, est devenue un phénomène essentiellement citadin, les Harari gardent la nostalgie du temps où ils étaient fermiers et regagnaient le jegol après leur journée de travail. Et dans la ville même les jardins expriment ce sentiment : quand on peut, on plante près de sa maison un manguier, un caféier, du qat. Sans oublier le basilic (rayhan), dont la ville était jadis, dit-on, toute parfumée...