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Récit romancé, La Tentation de l'ombre est une plongée en apnée dans un monde interlope où seuls les initiés, flics et voyous, peuvent vivre et parfois survivre. C'est l'histoire d'un jeune provincial qui, entré dans la police nationale et affecté dans un service de police judiciaire les plus mouvementé de Paris, a pour mission de pénétrer le milieu du grand banditisme. Il effectue ses classes dans les quartiers de Pigalle, la Villette et l'Opéra avant de rejoindre la BRI (brigade antigang) du fameux 36, quai des Orfèvres.
Avide de découvertes, l'auteur revisite en véritable ethnologue des ruisseaux et les bas-fonds de la ville. Et peu à peu, son existence devient insoutenable.
Ce témoignage compose aussi une peinture des moeurs politiques d'une époque, celle des années 1970 et du début des années 1980. En effet, le jeune policier, chargé d'enquêter sur l'assassinat d'une haute personnalité, une affaire politico-judiciaire qui deviendra un des scandales parmi les plus retentissants du xxe siècle, se rebelle contre sa hiérarchie. Pour son plus grand malheur.
Écrit comme un polar, ce récit constitué de faits réels auxquels l'auteur a été mêlé de près, glace le sang tant il met à nu la fragilité des êtres et dévoile les turpitudes de la raison d'État.
Un roman dans lequel la fiction ne parvient pas à dépasser la réalité !
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La tentation de l'ombre est un récit qui nous conduit au coeur d'un scandale d'État et relate des faits réels auxquels l'auteur a été mêlé de près. Ce témoignage, écrit comme un polar, donne froid dans le dos car il arrache ses masques à la raison d'État. Un jeune provincial, entré dans la police pour explorer les univers interdits, est affecté dans une unité chargée d'infiltrer le grand banditisme. Il effectue ses classes d'officier de police judiciaire dans les quartiers de Pigalle, de l'Opéra et de la Villette, puis rejoint la brigade antigang au fameux 36 quai des Orfèvres. Chargé d'enquêter sur le meurtre d'une haute personnalité de l'État, il est confronté à sa hiérarchie qui, avec la complicité du gouvernement, fait croire à l'opinion publique qu'il s'agit d'un simple crime de droit commun. La réalité est tout autre : la police savait, plusieurs mois avant l'exécution de cet homme, qu'il serait assassiné ; elle connaissait aussi tous les protagonistes de ce complot mais les a laissés faire.